Samuel Hemingway ∞ entrant dans la chambre, tu me vis sur le lit, je t’attendais alors que je stressais comme chaque fois que je rencontrais un nouveau client. Je n’ai pas beaucoup d’expérience, je suis nouveau dans ce milieu et j’ai peur de mal faire. Tu t’approches de moi et me fis un sourire tentant de me détendre. « Déshabille-toi mon mignon. » Je te regardais alors que tu venais de me dire quoi faire, c’était presque un ordre, mais me surprenant moi-même alors que je déteste me faire dire quoi faire, je me lève et me déshabille devant toi. Je suis un peu mal à l’aise de me retrouver nu devant toi alors que tu es totalement habillé, ton regard est sur moi. Tu t’approches encore et caresses ma joue puis ta main descend le long de mon corps, je peux sentir mon cœur battre à toute vitesse. « À genoux. » Ta voix était autoritaire sans être arrogante, méchante, non elle était à la fois douce et autoritaire et c’est pourquoi je le fis. Je me mis à genoux devant toi alors que tu sortis ton entrejambe de ton pantalon afin que je te fasse une fellation, ce que je fis, je n'étais pas encore très doué, mais je faisais de mon mieux et je pouvais sentir ses mains dans mes cheveux, les serrant pour t’enfoncer un peu plus dans ma bouche m’empêchant de respirer. Tu libéras ton plaisir dans ma bouche me forçant à avaler alors que je tentais de m’éloigner… tu m’attachas au lit et me baisas, puis me fit l’amour… autorité et tendresse à la fois. Tu aimais que je sois à ta merci, que j’obéisse aux moindres de tes ordres, je te vouvoyais et t’appelais monsieur alors que chaque fois j’attendais ton retour avec impatience. Comme si je ne pouvais plus me passer de toi, tu avais quelque chose de différent des autres clients, tu voulais que je te donne du plaisir, mais tu m’en donnais aussi. Parfois si je n’obéissais pas assez vite tu me donnais la fessée, ça m’excitait, j’aimais que tu fasses ce que tu veux de mon corps. Malgré moi, je commençais à m’attacher à toi et il ne fallait pas, mais toi aussi tu commençais à ressentir quelques choses, c’est à partir de ce moment que tu es devenu plus autoritaire, plus dur, voire brutal. Je me demandais… ou plutôt je me demande ce que j’ai pu faire de mal pour que tu te mettes à me détester, loin de me douter que ce soit au contraire parce que tu m’aimais et avais peur de ce que tu ressentais pour moi. Après tout tu es différent de moi, tu as de l’argent, beaucoup d’argent alors que je vis dans la rue. Tu as un bon métier, tu es plus vieux que moi, tous nous séparent… je ne sais pas ce qui va arriver maintenant, si tu vas accepter ce que tu ressens pour moi ou si tu vas décider de ne plus jamais venir me revoir, me brisant le cœur, mais peut-être que c’est mieux comme ça, notre histoire ne pouvant mener nulle part… non? Je n’ai pas raison si j’en avais la chance, j’aimerais te dire combien tu comptes pour moi, combien j’aimerais passer tous mon temps avec toi… Seul le temps nous dira si on a une chance de finir ensemble…