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 she tooks the midnight train going anywhere ✝ (zelda)

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Zelda Novokchonov

Zelda Novokchonov
admin, for better or for worse

messages : 2845
date d'inscription : 10/03/2014
avatar : barbara palvin
crédits : liloo_59
pseudo : pan. (manon)

métier : fille de joie
statut : fiancée mais juste pour faire chier
les péchés mignons : une bonne dose de caféine et de beaux mâles (voire des belles demoiselles)

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MessageSujet: she tooks the midnight train going anywhere ✝ (zelda)   she tooks the midnight train going anywhere ✝ (zelda) EmptyVen 25 Avr - 18:12


Zelda Belmind Novokchonov

NOM : novokchonov. PRÉNOM : zelda belmind. AGE : vingt deux ans et toutes mes dents. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : née un vingt deux septembre à moscou. ORIGINES : russes. MÉTIER : fille de bonne compagnie ou, en d'autres termes moins élogieux, une prostituée. ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle. STATUT CIVIL : peut-on réellement le définir ? probablement pas puisque je suis censée être fiancée mais me considère davantage comme étant célibataire. GROUPE : mille saveurs. AVATAR : barbara palvin

May the best of your past be the worst of your future
comme probablement beaucoup de personnes, elle a toujours eu des rapports extrêmement conflictuels avec ses parents. Parents qui ne sont d'ailleurs pas ses véritables géniteurs étant donné qu'elle a été adoptée. Elle avait tout juste un an et n'a donc aucun souvenir de ses véritables parents. Elle ne sait même pas où ils sont et pourquoi ils l'ont laissée à l'adoption. (+) Bien qu'elle adore l'odeur et le goût, elle est en quelques sortes allergique au chocolat noir. Uniquement le chocolat noir. Il la fait tousser, éternuer et la met dans des états pas possibles. Mais une fois mélangé dans des pâtisseries, ça ne lui fait plus rien. Un véritable supplice pour elle qui en mange quand même en douce. (+) Du genre très gourmande, elle est incapable de dire non à une sucrerie, quelle qu'elle soit. Elle se jette dessus. Un peu comme tout ce qui est à base de caféine. Elle ne peut pas passer une journée sans un cookie ou un muffin dans une main, et un gobelet fumant dans une autre. (+) Plutôt sportive, elle a été obligée d'arrêter la cigarette pour pouvoir continuer à un certain niveau. Oui, oui, elle fumait dans le seul but d'énerver ses parents. L'effet négatif ? Il lui a été plutôt dur de tout stopper. (+) Elle n'a d'ailleurs plus aucune nouvelle de ses parents et ce, même s'ils ne vivent qu'à une vingtaine de minutes de chez elle. Ils ne savent pas ce qu'elle fait de sa vie. Pareil pour son frère et sa soeur avec qui elle garde contact. Ils pensent qu'elle est journaliste sportive - chose dont elle a toujours rêvé - et qu'elle est souvent en déplacements, d'où les rares visites. (+) Elle ne supporte pas les chewing gum et est agacée quand quelqu'un en mâche un trop bruyamment à coté d'elle. Elle n'a qu'une envie, lui coller sur la tête. (+) Apparemment, elle est fiancée à un homme. Chose qui lui plaît guère. Comment elle en est arrivée là ? C'est un souvenir un peu flou à cause de l'alcool imbibé lors de cette fameuse soirée. (+) Aussi étonnant que ça puisse paraître, elle a été pendant longtemps complexée par son corps. Petite, vers dix ans, elle était plutôt ronde et les moqueries de ses camarades d'école l'ont traumatisée. Aujourd'hui, elle s'affirme. Dans ce métier, elle n'a guère le choix et c'est une sorte de revanche sur son passé. 

Qu'est-ce qui vous attire à Saint-Pétersbourg ? La ville en elle même et sa beauté. Tout à Saint Pétersbourg est attirant. Et puis, c'est aussi là que j'ai vécu depuis enfant. Bien entendu, les lumières, l'architecture mais surtout, les endroits festifs. Pour vous que représente la Rose Rouge ? C'est mon boulot. C'est une prison dorée. Une prison dorée où on est tout de même à l'aise. Elle représente aujourd'hui une partie intégrante de ma vie, que je le veuille ou non. Avez-vous déjà fréquenté la maison close ? Oui. Mais jamais en tant que cliente. Mon job, c'est justement, de bien traiter les clients. Et puis, j'y suis tous les jours donc on peut dire que je suis une habituée du lieu. Êtes-vous pour ou contre ce lieu ? Etant donné que grâce à ce lieu, je peux payer mon loyer et faire mes courses, je suis plutôt pour !

PSEUDO/PRÉNOM: pan./manon AGE : dix neuf ans maintenant. ES-TU UN SCENARIO ? : nop. FRÉQUENCE DE CONNEXION : quasi sept jours sur sept. COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM : grâce à anaïs et à nos petites têtes. QU'EN PENSES-TU ? : serais-je objective en répondant ? she tooks the midnight train going anywhere ✝ (zelda) 2615786082. UN DERNIER MOT ? : c'est mon dernier mot, jean-pierre.



Dernière édition par Zelda Novokchonov le Dim 4 Mai - 17:29, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: she tooks the midnight train going anywhere ✝ (zelda)   she tooks the midnight train going anywhere ✝ (zelda) EmptyVen 25 Avr - 18:12


zelda on the french riviera


les yeux rêveurs, emplis de paillettes et magie, l'enfant resserra contre sa poitrine une peluche à l'effigie d'un ours blanc avec un oeil en moins ce qui, par chance, ne le rendait pas effrayant et n'enlevait rien à son charme de doudou préféré des enfants. pour la quatrième fois de la journée, la fillette était scotchée devant la télévision, regardant encore et encore son walt disney favori qui venait de s'achever, sans jamais s'en lasser. peter pan. et, malgré ce que pouvait affirmer gaspard, son frère ainé, elle était sure qu'un jour, comme wendy, son beau garçon à la chevelure rouquine viendrait la chercher ici, à saint pétersbourg, bien loin de son pays imaginaire. « - j'y crois. j'y crois et je t'attendrais toujours. » telle était la phrase qu'elle répétait chaque soir devant sa fenêtre, le regard rivé sur le ciel étoilé. elle n'en démordais pas ce qui, bien souvent, déclenchait les rires de ses camarades plus âgés à l'école, bien moins crédules que cette enfant de tout juste six ans. son innocence était touchante mais semblait être risible également. et pourtant, à son âge, elle avait le droit de rêver. encore et encore. si bien qu'elle finissait pas y croire. trop peut-être. tellement que la petite zelda s'était enfermée dans un monde qu'elle seule connaissait. elle s'isolait de toute mais d'après les médecin, à cet âge là, c'était presque normal. il ne fallait pas faire attention et juste continuer de vivre normalement. elle en sortirait quand elle le voudrait. elle finirait par grandir. mais zelda n'était en aucun cas décidée à quitter son merveilleux. elle voulait son peter. elle le voulait dur comme fer. et, une nouvelle fois, elle s'endormie à même le sol, devant sa fenêtre. son visage pâle était éclairé par la lumière douce des étoiles et de la lune. son petit corps devenait de plus en plus froid à cause de la fenêtre qu'elle avait laissé ouverte malgré les quelques flocons qui tombaient sur le sol. cette nuit là, elle rêva encore d'un beau jeune homme, roux, vêtue d'un bel accoutrement vert et d'un chapeau abordant une plume rouge. le plus beau qu'elle n'avait jamais vu. un garçon qui viendrait la chercher dans les airs et qui lui offrirait tout. des amis, un pays où l'on reste tel qu'on est... un bruit de clochette se fit entendre dans la pièce et, comme réglée sur un timing parfait, l'enfant aux yeux bleus se redressa, légèrement ensommeillée. la fenêtre était désormais fermée et, sur son petit corps était posée une couette. elle était dans son lit. « - fée clochette ? » elle regarda de partout autour d'elle et se leva, manquant de trébucher sur sa peluche. elle regarda chaque recoin de sa chambre. sous le lit, derrière les rideaux et même au plafond. mais rien. aucune trace de la petite fée, fidèle amie de peter pan. encore déçue qu'il ne soit pas venu pour elle, elle tira la couette épaisse sur son petit minois. la fatigue étant trop importante pour qu'elle puisse lutter, elle s'endormie. pour de bon cette fois ci.


les rires des enfants, les doigts pointés sur elle, les moqueries... toutes ces petites choses rythment son quotidien. une enfant de dix ans ne devrait pas subir tout ça mais zelda si. trop ronde. des lunettes. des cheveux châtains presque indomptables. plus grande que ses camarades de classe mais presque la plus jeune. au début, ça ne dérangeait personne. ça ne la dérangeait même pas elle. elle n'avait que dix ans après tout. jusqu'à cette nouvelle rentrée des classes. son frère aîné venait de quitter l'école pour entrer dans un collège privé, la laissant seule. « - qui suis-je ? » une fillette, dont la tête blonde était surmontée par deux énormes chignons qui rappelaient des crottins, plaça ses doigts sur son visage, formant ainsi des lunettes fictives. gonflant ses joues blafardes, elle imita un culbuto et se dandina autour de zelda.  l'imiter en la dénigrant était devenu l'attraction favorite des enfants durant la récréation.  zelda essaya de cacher son mal être et partie discrètement, laissant les autres rires d'elle. elle n'alla pas se plaindre à ses professeurs. ceci n'aurait fait qu'accentuer l'opinion pieuse que les autres avaient sur sa personne. elle s'installa contre un arbre et ferma les yeux. elle fit le vide dans sa tête. si bien qu'elle ne remarqua pas tout de suite qu'elle était désormais seule dans la cour. personne ne semblait avoir remarqué son absence. elle se leva et hésita à se rendre en classe. au lieu de ça, elle escalada le grillage et parti. elle récupérerais ses affaires le lendemain. elle se ferait sans doute passer un savon par ses parents mais c'était toujours mieux que de retourner dans cette salle de classe. elle flâna dans la ville, resserrant son manteau contre elle. début septembre, le froid s'installait sur la russie. saint pétersbourg n'échappait pas à cette règle. elle continua à déambuler ainsi, attirant parfois le regard d'adultes sur elle. une enfant de dix ans, seule, qui se baladait plutôt que d'aller à l'école, ce n'était pas courant. « - petite, qu'est ce que tu fais ici ? » elle ne l'avait pas entendu. un grand homme, policier, la regardait. les mains posées sur ses cuisses il se pencha. zelda haussa les épaules. il lui pris la main et, suivant la gamine, il la ramena chez elle. elle n'échangea pas un mot, se contentant d'écouter et de hocher la tête lorsque le policier lui parlait. elle s'arrêta, stoppant l'homme avec elle. « - c'est chez moi. merci. » il arqua un sourcil et, à son tour, il hocha la tête. s'approchant de la porte, il donna quelques coups jusqu'à ce que celle ci s'ouvre sur sa mère. « - madame, une chance qu'elle n'ait pas été enlevée. surveillez la la prochaine fois. » il se recula et, adressant un sourire complice à l'enfant, il s'éclipsa.


les mains dans ses cheveux lâchés, elle tournait sur elle même, sautillant et balançant ses jambes au passage. ses éclats de rire emplissaient la pièce sombre d'une certaine euphorie. ses hanches se balançaient au rythme de la musique assourdissante. il était totalement impossible de s'entendre parler, voire même de penser. rapidement, elle fut rejointe par une fille, toute aussi éméchée qu'elle. malgré ses dix sept ans, zelda en paraissait trois de plus. outre inconscience qui vrillait son corps frêle, une âme plus rebelle et moins docile s'était immiscée en elle. elle jeta à nouveau son pied, renversant au passage une coupe de champagne. le liquide s'étala sur le carrelage de la grande bâtisse. elle se laissa presque tomber, à l'instar du champagne, mais s'attrapa mollement au bras de la fille. probablement trop saoule pour tenir, elle tomba, entraînant zelda avec elle. bien que la table ne fut pas très haute, la chute réussi à faire couler un filet de sang depuis son arcade. à moitié dans les vapes, elle regarda. elle tenta de se redresser.  « - suis moi. » ricanant, elle se laissa aller dans les bras de celui qui l'aidait. chose qu'elle aurait probablement dû éviter. elle se retrouva assise dans une baignoire humide. elle n'avait plus son tee shirt. elle fronça les sourcils. sa bouche, trop pâteuse, l'empêchait de parler. « - laisse toi faire. » ne comprenant pas tout à fait, elle essaya de se relever mais glissa. l'alcool qui affluait dans ses veines y était probablement pour beaucoup. le garçon, la vingtaine tout au plus, se pencha sur elle. zelda essaya de reculer mais glissa à nouveau. elle n'avait plus aucune force. « - t'es salement ouverte. ça va piquer un peu. » son arcade. elle voulu y porter une main mais il l'en empêcha. approchant une aiguille de son oeil, il s'afféra à la recoudre. un petit cri s'échappa des lèvres rosées de la jeune fille. lorsqu'il termina, il jeta l'aiguille et fouilla dans les placards quelque chose pour apaiser zelda. ne trouvant rien, il descendit lui chercher une bouteille d'alcool. elle en bu une longue gorgée avant se perdre dans les limbes. lorsqu'elle se réveilla, elle était seule, à moitié nue et son arcade la faisait atrocement souffrir.  des larmes silencieuses roulèrent sur ses joues légèrement rosies. elle n'avait aucun souvenir. la seule chose qui témoignait de sa nuit était probablement l'horrible gueule de bois qui s'emparait d'elle.


elle passa une main sur son visage encore ensommeillé. une cuite. encore une qu'elle peut ajouter à sa longue liste. elle était juste sortie avec quelques filles de la maison close. elle ouvrit un oeil qu'elle referma aussitôt à cause du soleil qui rivait ses rayons sur son visage d'ange. marmonnant, elle se retourna dans le lit. elle se heurta cependant à quelque chose. se redressant - trop vite - elle regarda l'homme à ses cotés. sa tête lui tourna. « - eh oh. » elle n'eut aucune réponse de l'homme endormi. elle ne voyait pas son visage. délicatement, elle se leva et quitte le lit. il lui fut difficile de dissimuler sa surprise lorsqu'elle remarqua qu'elle porte tous ses vêtements sur elle. elle jeta un nouveau coup d'oeil à l'homme. lui aussi était entièrement habillé. était-il réellement un client qui aurait payé pour ses services ? impossible, elle n'était pas censée travailler et visiblement, ils n'ont rien fait. à pas de loup, elle s'avança vers la porte. « - salut. » elle sursauta et pivota légèrement. comme muette, elle lui adressa un simple signe de la main. rapidement, son regard fut porté sur la bague qui ornait son doigt. bague qu'elle n'avait jamais vu jusque là. elle la fit miroiter. le soleil se reflétait sur le petit diamant qui ornait la bague. « - pourquoi tu as la bague de fiançailles de ma mère sur toi ? » elle sursauta à nouveau. zelda ne s'était pas rendue compte qu'il était si proche d'elle. et surtout si grand. elle dû lever la tête pour espérer lui faire face. en guise de réponse, elle haussa les épaules. « - tu te souviens pas de hier ? » à son tour, il haussa les épaules. il ne s'en souvenait pas vraiment. il était allé seul dans un bar après s'être fait plaqué par celle qu'il venait de demander en mariage. avec cette même bague. il la fixa intensément puis, son regard se porta sur la bague au doigt de la jeune femme. « - en tout cas, elle est belle. » « - mais elle est à moi. » instinctivement, elle ramena sa main contre sa poitrine et fronça les sourcils. elle secoua la tête de gauche à droite en signe de négation. « - visiblement, tu me l'as donné puisque je ne serais pas allée te la prendre. même totalement bourrée. donc elle est à moi. » se hissant sur la pointe des pieds, elle déposa une bise sur sa joue et ouvrit la porte.  « - au fait, moi c'est zelda. » sur ces mots, elle quitta l'appartement de son inconnu, continuant de fixer la bague ornant son doigt. elle savait très bien que ce qu'elle venait de faire n'était pas une bonne chose. après tout, elle venait de lui voler un héritage familial.


il passe une veste sur ses épaules carrées. finissant son verre d'une traite, il sorti un billet qu'il posa sur le comptoir et parti sans demander son reste. son regard vagabonda entre les lumières de saint pétersbourg. rapidement, une fille l'attira. il s'approcha, s'armant de son plus grand sourire. néanmoins, il déchanta rapidement en la voyant accompagnée. lorsqu'elle se tourna, sa respiration eut un raté. zelda. machinalement, il essaya de regarder sa main. il n'y avait plus la bague. l'avait-elle revendue ? peu de temps après qu'elle ai quitté son appartement, des brides de souvenirs lui étaient revenus. désespéré quant au fait de voir une relation longue de dix ans prendre fin, il s'était perdu dans les verres de vodka et tout ça jusqu'à ce qu'elle l'aborde. ils avaient parlé toute la soirée. toute la nuit et il avait fini par la demander en mariage. bien sur, zelda avait accepté. elle était devenue sa fiancée au bout de quelques heures à peine. et visiblement, elle ne s'en souvenait pas. lorsqu'il sorti de ses songes, elle était bien loin devant. remontant le col de sa veste, il décida de la suivre discrètement. bien trop occupée avec son client, zelda ne remarqua rien du tout. l'homme fini par la quitter devant un taxi qu'elle ne pris pas. il hésita à la rejoindre à ce moment là mais n'en fit rien, continuant de la suivre. il s'arrêta lorsqu'il compris où il était. la rose rouge. à nouveau, l'hésitation s'empara de lui. fourrant les mains dans ses poches et soupirant longuement, il avança de quelques pas avant de se stopper à nouveau. il fixa le bâtiment pendant de longues minutes. qu'allait il faire ? entrer dedans, clamer qu'il voulait voir zelda et ensuite quoi ? lui prendre sa bague et partir comme si de rien n'était ? non, c'était bien trop simple. il soupira et tourna les talons avec une idée en tête, la conquérir et ce, même s'il devait passer par cette maison close.


Dernière édition par Zelda Petrova le Sam 26 Avr - 8:38, édité 8 fois
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